Analatsara – la belle forêt en malgache – est une parenthèse suspendue dans le temps.
Analatsara est un rêve que j’ai créé, construit totalement dans le respect de l’architecture
locale mais avec un confort européen que j’aime à partager avec des rêveurs...!
Les ‘autres’, désolé ne venez pas, ce luxe ne sera ni le vôtre, ni votre attente.
Analatsara Ecolodge est un ensemble de huit maisons d’hôtes dont
nous avons volontairement limité la capacité d’accueil à 28 personnes,
afin de mieux préserver la convivialité des lieux.
« Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. »
— Charles Beaudelaire
Jean Pierre – dit Le Baron – et Nadia proposent une formule table d’hôte
des plus conviviales et de qualité.
Une rocaille lovée dans le lagon forme une piscine naturelle, pour le plus grand plaisir
des enfants et pour la tranquillité des parents…
Sans compter notre fameuse balançoire afin de fixer vos souvenirs photos.
Des soirées folkloriques avec des chants et des danses traditionnelles viennent
parfois ajouter plus d’animation quotidienne.
Pour votre confort nous proposons :
– Eau chaude et électricité 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, grâce à une installation solaire
– Deux bateaux à moteur pour vos transferts, vos sorties de pêche, les plongée en apnée)
– Un salon de massage
– Un atelier sculpture
– Des safaris en mer / des pique-nique (ex: ilot aux sables), des circuits pédestres
– Une découverte de l’île
– Des chasses aux trésors etc…
– Possibilité de vos règlements par carte bancaire (carte visa).
–
L’île oubliée du temps…
L’île aux Nattes : 3 kilomètres du nord au sud – 2,5 km d’est en ouest.
Une terre de pirates de l’océan indien, déjà au 17ème siècle, elle était un
refuge pour les aventuriers, les rêveurs éveillés en quête d’une autre vie.
Le point « oublié » du point d’exclamation de l’île Sainte Marie.
Ici, aujourd’hui encore, nous devons vivre en autonomie quasi-totale
dans le respect de notre environnement.
Ici tout n’est que luxe de la nature, calme et volupté d’être.
Ici on marche pieds nus sur la terre ou sur le sable si blanc, si immaculé…
La barrière de corail où se brisent tendrement les vagues dans un sourire
est un écrin précieux, tel un coquillage de nacre qui entoure l’île et la protège.
Seules les tortues et parfois les dauphins peuvent la pénétrer.
Quant aux miraculeuses baleines –visibles de juin à septembre– elles jouent à la longer, leurs bébés n’étant jamais loin et leurs sauts unit la terre au ciel dans une gerbe d’étoiles.